Tél : 02 98 95 12 31 | Courriel : contact@umih-29.fr
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Depuis le 1er janvier 2022, les pourboires remis volontairement aux salariés en contact avec la clientèle dont la rémunération ne dépasse pas 1,6 Smic, sont exonérés de cotisations et contributions
sociales, ainsi que d'impôt sur le revenu tout en étant intégrés au revenu fiscal de référence du bénéficiaire.
Ce régime spécifique, qui devait prendre fin le 31 décembre 2024, est prolongé d'un an, soit jusqu'au 31 décembre 2025 (article 7 de la loi de finances 2025).

Les touristes ne doivent pas financer la mobilité bretonne
L'UMIH Bretagne rappelle avec force que ce n'est pas aux visiteurs de financer les politiques publiques de mobilité régionale. La taxe de séjour a été créée pour soutenir le développement touristique local — pas pour combler les manques budgétaires d'autres politiques publiques. Détourner son usage initial, c'est affaiblir la confiance des visiteurs et fragiliser un secteur déjà sous pression.
Une charge insoutenable pour les clients et les établissements
Une hausse de 200 % représente une flambée immédiate des coûts pour les clients, qui se répercutera directement sur le prix final d'une nuitée.
Pour un couple, une famille ou un groupe, cela signifie plusieurs dizaines d'euros supplémentaires sur un séjour. Dans un contexte économique tendu où les ménages surveillent leurs dépenses, chaque euro compte : cette mesure risque de détourner les touristes vers d'autres destinations plus abordables. Pour les professionnels bretons, déjà confrontés à l'inflation, à la hausse des coûts de l'énergie et à la pénurie de main-d'oeuvre, cette nouvelle charge est tout simplement inacceptable.
Un risque réel pour l'attractivité et l'emploi
L'hôtellerie-restauration représente des milliers d'emplois directs et indirects en Bretagne, au coeur de nos territoires, de nos littoraux et de nos villes.
Plomber la fréquentation touristique, c'est affaiblir tout un écosystème économique et social : les hôtels, les restaurants, les producteurs locaux, les artisans, les sites culturels…
L'UMIH Bretagne demande le retrait immédiat de cette proposition et appelle à une concertation avec les acteurs du tourisme avant toute modification du dispositif de la taxe de séjour.
« La Bretagne a besoin de mobilité, oui — mais pas sur le dos de ses visiteurs et de ses hôteliers. »
Anthony Rambaud
Président de l'UMIH Bretagne

L'article L 5422-1, I du Code du travail refuse le bénéfice de l'allocation d'assurance chômage au salarié qui a refusé à deux reprises, au cours des 12 mois précédents, une proposition de CDI à l'issue d'un CDD ou d'un contrat de mission dans les conditions ci-dessus.
Nous vous invitions à consulter votre site adhérent afin de connaître les modalités de mise en œuvre.
Depuis le 1er juillet 2025, les employeurs doivent s'acquitter d'une participation obligatoire de 750 euros pour tout contrat d'apprentissage, pour les formations à partir de Bac+3 (niveaux 6 et 7).
En cas de nouveau contrat à la suite d'une rupture du contrat initial, une participation réduite à 200 € est prévue pour le nouvel employeur.
En cas de rupture de contrat au cours de la période probatoire, la participation obligatoire de l'employeur sera de 50 % du niveau de prise en charge pour la période considérée, dans la limite de 750 €.
L'objectif de cet accord :
- Promouvoir l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans la branche CHR
- Réduire les écarts de rémunération et favoriser l'égalité d'accès à l'emploi, à la formation et à la promotion
- Améliorer la qualité de vie au travail et lutter contre les discriminations et les violences sexistes
Nous vous invitons à télécharger la circulaire de l'UMIH sur votre espace adhérent .
L'UMIH dénonce une trahison de la restauration et annonce par la voix de Thierry Marx, président confédéral et celle de Franck Chaumes, président national de la branche restauration, le boycott par l'Umih 1er syndicat de la profession, des Assises de la restauration et des métiers de bouche qui se tiendront le 1er juillet prochain. Ils appellent l'ensemble des organisations professionnelles à les rejoindre dans ce boycott.
Suite aux annonces de la réforme du titre restaurant par Véronique Louwagie, ministre déléguée aux commerces, à l'artisanat, aux TPE/PME et à l'ESS et dorénavant de la grande distribution, l' Umih dénonce des annonces en trompe-l'œil et un détournement pur et simple de l'objet social du titre-restaurant. Sous couvert de modernisation, la réforme du titre-restaurant, menace directement des dizaines de milliers d'établissements de restauration commerciale.
Tout alimentaire : un cadeau pour la grande distribution, un poison pour les restaurateurs
La pérennisation de l'utilisation du titre restaurant au « tout alimentaire » signifie un abandon pur et simple des restaurateurs au profit de la grande distribution. En effet, ce qui devait être une mesure transitoire devient un dispositif permanent, totalement déconnecté de la vocation initiale : permettre au salarié de financer son repas à l'extérieur quand l'entreprise ne propose pas de restaurant d'entreprise
Le résultat est sans appel : près de 900 millions d'euros de chiffre d'affaires annuels siphonnés au profit de la grande distribution. En deux ans, celle-ci a gagné 10 points de parts de marché sur le dos des restaurateurs, qui en ont perdu plus de 9. De plus, la mesure représente, un manque à gagner considérable pour les finances publiques, compte tenu de la différence de taux de TVA entre les achats en GMS (5,5 %) et en restauration (10 %).
Double plafond abandonné : un revirement incompréhensible
Pour l'Umih, l'abandon du double plafond, pourtant testé et approuvé après la crise COVID, est un revirement incompréhensible de la part du Gouvernement. Cette mesure était la seule véritablement protectrice de l'objet social du titre-restaurant et des commerces de proximité. Son rejet renforce la concurrence déloyale entre un repas préparé et un panier de courses. Pourquoi ce revirement de la ministre Louwagie, qui jugeait récemment la mesure « très sérieuse », pour désormais la qualifier « d'usine à gaz » ? Ce retournement de position est inadmissible pour des dizaines de milliers de TPE / PME.
Une réforme qui perd son cap
Sur les autres mesures annoncées, l'UMIH salue la fin du format papier et l'interdiction des pratiques commerciales opaques des émetteurs (RFA). Mais ces avancées sont balayées par l'essentiel : la dénaturation complète du dispositif. Pire, le gouvernement envisage désormais de supprimer la CNTR et de confier aux émetteurs eux-mêmes le contrôle des usages. Peut-on confier à un opérateur économique le soin de sanctionner ses propres clients ?
L'UMIH exige un sursaut
Un projet de loi est annoncé pour le 4e trimestre 2025, l'Umih poursuit sa mobilisation pour un sursaut général pour préserver ce qui fait la force du titre-restaurant : sa mission sociale et économique au service du déjeuner des salariés et de la vitalité de la restauration française et pas un énième levier de croissance pour la grande distribution.
Pour Franck Chaumes et Thierry Marx « Le titre-restaurant ne peut devenir un outil de consommation indistinct, vidé de son sens et instrumentalisé pour des objectifs éloignés de sa vocation d'origine » et de poursuivre « si le gouvernement maintient sa position, on s'achemine vers l'un des plus grands plan social de l'histoire de la restauration, en effet chaque jour, ce sont 23 entreprises de notre secteur qui sont déclarées en défaillance, souvent les plus petites et en ruralité. Cette réforme va aggraver et amplifier cette situation. »
L'UMIH dénonce une trahison de la restauration et annonce par la voix de Thierry Marx, président confédéral et celle de Franck Chaumes, président national de la branche restauration, le boycott par l'Umih 1er syndicat de la profession, des Assises de la restauration et des métiers de bouche qui se tiendront le 1er juillet prochain. Ils appellent l'ensemble des organisations professionnelles à les rejoindre dans ce boycott.
Pourquoi participer ?
• Offrir l'opportunité à une personne de découvrir un métier, un cadre de travail, un secteur d'activité.
• Sensibiliser vos équipes à la diversité et à l'inclusion.
• Valoriser les métiers de l'hôtellerie-restauration auprès de tous les talents.
Vous êtes un professionnel du secteur CHRD? Engagez-vous dans cette démarche citoyenne !
Inscrivez-vous dès maintenant en cliquant sur le lien suivant
L'UMIH confirme sa position de leader incontesté dans la branche des cafés, hôtels et restaurants pour la 3e fois consécutive avec :
51,08% d'audience salariés marquant une progression significative de 3,5 points par rapport à 2021. Ce résultat dépasse aussi la performance historique de 2017 (50,31%).
68.65% d'entreprises adhérentes à une organisation professionnelle dans notre secteur.
De plus, l'UMIH double sa représentativité dans la restauration rapide par rapport à 2021.
Avec ces résultats, l'Umih redevient la seule organisation patronale de la branche à disposer du pouvoir de conclure seule des accords ou d'exercer un droit d'opposition, dans le cadre de la négociation sociale.
L'Indice du Coût de la Construction (ICC) du quatrième trimestre 2024 s'élève à : 2108
Cet indice fait donc ressortir une variation de :
- 2,50 % en un an
+ 11,77 % en trois ans
+ 29,40 % en neuf ans
L'Indice des Loyers Commerciaux (ILC) du quatrième trimestre 2024 s'élève à 135,30
Cet indice fait donc ressortir une variation de :
+ 2,01 % en un an
+ 14,09 % en trois ans
+ 24,80 % en neuf an